Gratter son Smartphone !

Gratter son Smartphone peut rapporter beaucoup d’argent grâce à la révolution numérique de la nouvelle déclinaison du portail de la FDJ® adaptée pour les mobiles. Avec ce concept moderne, La Française des jeux tente de fidéliser une clientèle plus jeune. L’enjeu de l’opération séduction est d’attirer des joueurs âgés entre 25 à 34 ans.

De nombreux jeux de grattage compatible avec des appareils portatifs

2 applications FDJ® ont longtemps été disponibles sur l’App Store d’Apple, il s’agit de la validation des bulletins de jeux de tirage Loto et Euro Millions. Désormais, on peut acheter des tickets de grattage en se servant de son Smartphone. Le joueur pourra ainsi s’amuser directement à la célèbre carte à gratter Astro et découvrir ses éventuels gains en frottant délicatement l’écran de son mobile.

D’autres titres se déclinent aussi sur téléphone, le Morpion et le Bingo en sont quelques exemples. Toujours dans le but d’attirer de nouveaux fans, la ludothèque ne se limite pas à gratter un ticket virtuel puisque divers jeux innovants sont également conçus. C’est le cas des titres développés pour plaire aux accrocs des jeux sociaux tels que Candy Crush.

Gratter à travers de nombreux supports amovibles

À l’origine, la version mobile des coupons-surprises a été développée pour l’iPhone. Actuellement, frotter l’écran est un exercice sympathique qui s’étend sur d’autres supports amovibles. L’offre numérique est également disponible pour les tablettes Android et Windows. Cette déclinaison survient 6 mois après l’apparition des tickets à gratter pour iPad.

Dématérialisation de la prise de jeux pour booster les ventes de la FDJ®

Après les tickets de grattage cartonnés, les parties en flash Exclu Web, La Française des jeux étoffe son catalogue de fun en proposant cette fois la possibilité de s’amuser sur iPhone, iPad, Smartphone et tablette Android et même Windows phone. D’après les affirmations de Stéphane Pallez, la présidente de la FDJ®, des jeux différents des titres habituels vont compléter la collection des softs mobiles.

Ces 2 applis basées en partie sur le hasard et la stratégie s’adressent surtout au public plus jeune. Cette nouvelle approche permettra peut-être d’améliorer le chiffre d’affaires de la compagnie française relatif à l’ère du numérique. Sur les 10 % de recettes prévues, les mises en ligne couvrent à peine 4 % du total des chiffres d’affaires.